Depuis quelques années, nous voyons l’apparition de nouvelles formes d’œuvres d’art. L’art sous forme numérique que l’on peut aussi nommer l’art digital : c’est ce dont nous allons parler durant cette interview. On s’intéresse précisément à Greed, un artiste et graphiste dans le domaine 3D, qui a accepté de nous parler de son univers et de ses inspirations.
Présentation
Je m’appelle Greed, j’ai 20 ans et je suis graphiste et artiste 3D dans le milieu de la mode, précisément dans les sneakers.
Le choix du nom d’artiste ?
« Greed » vient d’un animé qui s’appelle full metal alchimist, il est la personnification du pêcher de l’avidité, il est l’état d’esprit dans lequel je trouve une certaine force, celui qui me motive et qui me permet de contraster avec la personne que je suis.
Depuis quand ?
Je fais de la 3D depuis 1 an, j’ai commencé à faire des sculptures sur l’iPad et quelques mois après, j’ai commencé à toucher à Blender. Je me suis d’abord tourné vers la 3D pour donner une autre dimension a mes dessins et j’ai ressenti une liberté que je ne trouvais avec aucun autre médium.
Ta façon de procéder ?
Ma façon de procéder est plutôt intuitive, je laisse beaucoup de place à l’imprévu, quand je commence une scène 3D, j’ai toujours un brouillon très peu détaillé qui me donne la direction à suivre et le reste sera créé en fonction des erreur que je vais faire.
Les inspirations
Mes inspirations viennent principalement de l’architecture, de l’automobile, de la culture sneakers et des mangas.
Ton univers ?
Concernant mon univers, je n’arriverais pas à donner de mots pour le définir, car il évolue en même temps que moi et ce n’est pas fixe.
Un objectif ?
Mon objectif est de créer mes propres sneakers en collaborant avec des marques qui me tiennent à cœur et de pouvoir être à la direction artistique d’une collection. Surtout, je veux pouvoir travailler avec des talents avec un univers fort.
Un conseil ?
Le seul conseil que je peux donner, c’est vraiment de travailler avec passion, de ne pas avoir peur de recommencer à zéro, accepter l’échec et de saisir chaque opportunité de collaborer.
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